Parce que nous somme des grands enfants, nous aimons nous amuser avec trois fois rien, quitte, parfois à tomber dans l'humour un peu potache.
Comme par exemple sur le blog "Fun With Signs", en cachant quelques lettres d'un panneau, on peut transformer "Please enter here" en "Please enter her". Ou encore "Simply books" en "Simply boobs". C'est fin, hein? On s'marre, non?
On peut également saupoudrer de quelques grammes de finesse ou d'humour noir les rues, poteaux et vitrines de boulangeries de notre ville brutasse, grâce à des petites annonces qui ne vendent rien mais annoncent, en effet, une perte de virginité, de licorne ou un trop plein d'amour.
Si on est un peu plus doué de ses 10 doigts, comme Dan Tague, on peut s'amuser à faire parler les billets d'un $. Il se trouve qu'ils ont effectivement 2,3 messages à faire passer.
Enfin, si on sait surtout manier la palette graphique, on peut se donner de la joie avec des pictogrammes. Pour illustrer, le plus simplement du monde, des films qu'on connaît tous. A ce petit jeu, Victor Hertz touche sa bille.
Victor Hertz qui, comme une 100aine d'autres artistes, a décliné l'idée sur 11 affiches supplémentaires pour le site de la cinémathèque française, dans le cadre de l'exposition virtuelle "Stanley Kubrick et le web" en complément de l'exposition principale (jusqu'au 31.07.11).
Et si vous n'avez toujours pas amorcé le début d'un sourire, cette simple image devrait enfin vous faire ne serait-ce que plisser des lèvres, non?
Toujours pas? Nom d'une pipe, vous êtes un dur à cuire. Ah, je sais, ok, ok, je vois le genre d'humour que vous exercez, d'accord, très bien. Chacun ses goûts.
Cadeau, donc.
Allez, bisous.
mardi 5 avril 2011
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